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A BEP SEURT

Dielloù kozh -

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Lorcy-Parskav (2015)

Prantadoù -extraits

(composition Enora de Parscau)

Trio Enora (2009)

Disul vintin

(composition Enora de Parscau)

Kazetennoù-

Presse...

Ne c'hellañ ket bevañ hep kanañ

Kanerez nevez ar strollad Barba Loutig eo Enora De Parscau. Un avañtur nevez evit ar vaouez yaouank, hag a gan abaoe he bugaleaj.

Setu strollad Barba Loutig, ur skipailh kanerezed brudet mat er vro, o tegemer ur plac’h nevez : kroget he deus Enora de Parscau, kanerez ha skolaerez war un dro, da ganañ asambles ganto. Ur plac’h all a oa er strollad a-raok, Anjela Lorho-Pasco hec’h anv, met divizet eo bet ganti kuitaat ar strollad evit raktresoù micherel

Kan-ha-diskan

Abred-mat he doa kroget Enora da ganañ, pa oa-hi e skol divyezhek Lannuon : skoliadez Jean-Do Robin ha Klaod an Intañv, daou ganer kan-ha-diskan eus ar c’hentañ, eo bet. Ha kendalc’het he deus war an hent-se : « pa oan en em gavet er skol-veur am boa bet savet ur strollad gant ar sonerien Youen Paranthoen ha Grégoire Hennebelle, anvet Trio Enora », emezi. Kanet he deus ivez er festoù-noz, asambles gant Murielle Le Guern pe Gael Lorcy, betek pignat war leurennoù brasoc’h : « Thomas Lotout, e-penn ar strollad Titom, en doa kinniget deomp dont da ganañ asambles ganto. ur cheñchamant bras eo bet em buhez » a gont Enora. Ur plac’h gwriziennet mat er muzik hengounel : setu ar pezh en deus lakaat merc’hed Barba Loutig da vont daved Enora. « O klask ur plac’h ampart war ar c’han hengounel e oamp, gouest ivez da ginnig traoù nevez deomp », a zispleg Lina Bellard. Labourat war tonioù Barba Loutig zo bet ur sapre labour evit Enora : « Anjela he deus enrollet pep tra evidon ha dreist eo bet. Kroget am eus da labourat ganto e miz Even. Ankeniet bras e oan evit ar fest-noz kentañ e miz Gwengolo ! Met tremenet eo mat-tre. Bremañ emaomp o krouiñ tonioù nevez evit ar sonadegoù. Klask a reomp en em vodañ div pe teir gwech ar miz », eme ar ganerez.

Kanerez a-vicher ?

N’eo ket Enora kanerez a-vicher. Pas c’hoazh, lakaomp : « skolaerez divyezhek on e Ploue, e bro Gwened. Ha betek bremañ on deuet a-benn da ganañ ha da ober ma micher skoalaerez war un dro. Met digresket em eus un tamm ma amzer labour evit kaout amzer da bleustriñ muioc’h. » Nevez zo he deus kroget Enora da ganañ zoken en ur strollad funk-jazz anvet Alkemi. Met amzer zo. « Lentik a-walc’h on, ne blij ket din ‘n em ziskouez kalz ! Bezañ war al leurenn a ra un tammig aon din met al liamm gant ar publik  a ro kalon din. Ha marteze, un deiz bennak e klaskin ober ma micher deus ar c’han. Rak bevañ hep kanañ, ne c’hellan ket ober ! ».

 
 
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Abadenn radio

Abadenn Breizh O Pluriel skignet d'ar 27/12/2017, kaset a-benn gant Erell Beloni

 
 
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Alkemi aux jeudis de Ploemeur

La place Bretagne était le cadre d'un Jeudi de Ploemeur axé sur la musique celtique, jeudi soir. En début de soirée, les Churchfitters ont posé l'ambiance avec leur répertoire empreint de pop rock et folk, et en seconde partie, la part belle a été laissée au groupe Alkemi.

Richesse des expériences


En seconde partie de soirée, la part belle a été laissée au groupe Alkemi composé autour du batteur Patrick Boileau (Dan Ar Braz, Gilles Servat...) et de la chanteuse Enora de Parscau. Pour ce projet autour de la musique celtic, jazz and rock, Patrick et Enora ont été rejoints par des musiciens venus d'horizons différents : Philippe Turbin (Servat, Gwennyn...) au piano ; Yannick Hardouin (Dan Ar Bras, Céline Dion, Garou, Malicorne) à la basse, Jean-Michel Veillon (Skolvan, Barzaz) aux flûtes et Yvan Guillevic (Empty Spaces, Pyg, Wired...) aux guitares. La richesse des expériences de chacun, conjuguée avec une énergie et une harmonie palpables, a donné une dimension originale à un concert qui faisait se rencontrer les univers de Keith Jarret, Billy Cobham, Ange, Jeff Beck ou Pink Floyd aux musiques traditionnelles et aux textes du « Barzaz Breizh », aux musiques irlandaises et écossaises. Un projet osé mais le défi a été relevé, soutenu par un public séduit.
© Le Télégramme

Duo DeParscau/Delamaire à Perros Guirec

Ce vendredi, les associations Son ha Kan et Harpan Diwan e bro Berroz invitaient le public à un concert où la tradition bretonne était à l'honneur. Les organisateurs avaient invité des chanteurs et des musiciens qui font partie de l'élite bretonne. En alternance, le duo Lotout-Robbe et ke duo Delamaire-Parskav ont enchanté le public.

 

Balade chantée à travers la Bretagne


Les premiers se connaissent depuis bien longtemps et ont proposé un répertoire de basse et haute Bretagne fait tantôt de traditionnel, tantôt composés de cantiques, mélodies et danses. Le public nombreux n'a eu aucun mal à adhérer au programme des deux hommes qui leur ont offert un spectacle de qualité. Les secondes, chanteuses de kan ha diskan, ont mis le gwerzioù à l'honneur. Leurs voix, à la fois puissantes et cristallines, ont emporté le public dans l'univers des chants et des complaintes relatant des faits divers ou historiques. Le public, multigénérationnel, a apprécié cette parenthèse musicale traditionnelle qui leur a permis d'explorer les terroirs de haute et basse Bretagne au travers des répertoires des deux duos. À l'issue du concert, les artistes ont d'ailleurs reçu des applaudissements nourris du public.

 
 
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Concert trio Ebrel - LeGuern - DeParscau

2002...

Il y a des concerts où l'on ne fait que s'étourdir, et d'autres, plus rares, où l'on touche à l'essentiel : celui d'Annie Ebrel et de ses complices, vendredi soir au Coat Kaer, faisait partie de la seconde catégorie.

Pas besoin de décorum, d'artifices, de subterfuges pour détourner l'attention ou combler le vide. Nous n'étions pas devant la télé, vendredi soir, mais en présence de trois femmes, de trois voix, tout simplement, à prendre ou à laisser, mais d'une totale sincérité. En ce monde tourbillonnant et bruyant, il n'est pas forcément évident de retrouver en soi-même la capacité d'écoute pour ce genre de concert où le dépouillement pourrait conduire à une austérité excessive.

Les ailes du chant

Et pourtant, dès les premières minutes, les 200 spectateurs ont succombé au charme : parce que ces voix si vibrantes et si profondes parlent à l'âme. Il y avait pourtant deux musiciens, excellents au demeurant, le percussionniste Dominique Molard et le clarinettiste Olivier Urvoy, mais leur discrétion a été admirable. Pas question de se mettre en avant comme dans tant d'autres concerts, pas question de couvrir les voix, pas question de remplir des plages de vide : ils ont simplement, avec beaucoup de délicatesse et de pudeur, souligné les temps forts ou transformé leurs instruments en d'autres voix primitives. Tout de sombre vêtues, Annie Ebrel et ses jeunes complices, Enora de Parscau et Muriel Quelen, occupaient tout l'espace, et elles ont parcouru sur les ailes du chant tous les chemins creux de Bretagne, du Trégor au Pays pourlet et des monts d'Arrée au Pays vannetais.

Dans leur temps

Elles étaient l'espace d'un soir filles du vent et magiciennes, avec ce qu'il fallait par moments de swing et d'échappées «jazzy» pour démontrer aux plus sceptiques qu'elles sont dans leur temps, Bretonnes du XXI e siècle qui font vivre leur culture avec un enthousiasme communicatif. Ce concert ressemblait à cette région, avec ce qu'il faut de mélancolie ou même de tragiques histoires, mais aussi, danses à la clé, avec ce qu'il faut d'explosions de joie et d'énergie vitale. «Eh bien voilà, c'est ce qu'on vous proposait ce soir», dira Annie Ebrel à la fin du concert, tout simplement, comme si c'était au coin du feu. Mais Annie, Enora et Muriel, vendredi soir au Coat Kaer, en chantant votre Bretagne, comme vous étiez belles!
© Le Télégramme

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